|
|
V- Le Marchand de tulipes
Un fendant, un raffiné.
« S'imaginerait-on jamais, à voir ma pimpante dégaîne,
que la « Ah! si de cette fenêtre, où grésille une lumière,
était « La place Royale est ce soir, aux falots, claire comme une « N'est-ce pas la Marion Delorme au bras du duc de Longueville? * * * Et le raffiné se panadait le poing sur sa hanche, coudoyant les Gaspard de la nuit
|
|
·
· livre
d'or · les arbres · European trees · voyages · 1500chansons
· Fables
de Jean de La Fontaine · Les passions (récits)
Cette page a mis 0.02 s. à s'exécuter - Conception© 2006 - www.lespassions.fr |